LA pAge noire

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samedi 20 juillet 2024

J'aime pas les gens (mais y'a des gens que j'aime)

 








Coup de coeur CULTURA 




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J'ai adoré ton roman. 
Mais est-ce un roman ou un essai sur la vie et la condition humaine ? Les personnages si différents sont tellement humains. Sous des apparences misanthropiques, Artus est tellement humaniste. Il me fait penser à toi. Ton roman donne des pistes sur les interrogations touchant à la vie ; pour ceux qui s'interrogent...
Pour reprendre ta dédicace, j'ai perçu la lumière... celle des chemins. 
La qualité de l'écriture, la richesse des contenus sont époustouflantes. C'est brillant. Oui j'ai adoré. J'attends le prochain avec impatience. 

(Eric Juillard, Rotary Club - Aix-Mazarin)

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📖 Bonjour ami(e)s de la lecture
Je partage mon retour de lecture sur l'étonnant et brillant "J'aime pas les gens (mais y a des gens que j'aime)" de Ollivier Errecade En Toutes Lettres chez Red'Active Editions
🥰📖Un coup de coeur !!! 🥰📖
Un livre qui ira loin, très loin, à n’en pas douter.
Il est d’une grande richesse stylistique. D’un langage parfois cru à la limite de la rudesse (sans vulgarité) jusqu’à ces envolées poétiques incrustées de métaphores époustouflantes, la vie de ces gens ordinaires en devient extraordinaire.
J’ai été bousculée par l’émotion qui s’insinue partout, dans un regard, un silence, un souvenir, un acte manqué ou un secret honteux. J’ai cheminé à travers ces antagonismes qui font l’Humain tel qu’il est sous toutes ses formes, et l’auteur ne s’interdit rien dans le graphisme en 3D qu’il fait de ses personnages.
Chacun son fardeau, ses rêves et ses non-dits. Mais ensemble, l’Amitié s’imprègne dans la complicité de leur besoin d’être ce qu’ils sont, tels qu’ils ne sont pas lorsqu’ils sont désunis. Frontière invisible des sens et d’une réalité où aimer et ne pas aimer se confondent souvent…
Artus, Laura, Guillaume, Albi, Fabien et même Sophie Marceau ! Pourquoi elle ? C’est tellement évident lorsque l’on sait…
Difficile de résumer l’histoire, alors je ne le ferai pas. Juste ces mots pour espérer vous mettre une lueur d’envie au coin de l’œil.
Ce livre est un monde à lui seul, qu’il faut apprivoiser à sa manière et il existe autant de façon de se l’approprier qu’il y a de lecteurs…Serez-vous le suivant ? Je vous le souhaite 😉
PS : l’image de couverture vous surprend ? Quel symbolisme trivial et pourtant d’une force et d’une évidence que l’on ne peut comprendre qu’en lisant ce livre. 🥰📖

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Dominique Guenin (Auteur, Unisson, chroniqueuse de Ecrivains de Provence et Mes Plaisirs de Lecture)

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Je vous un mot pour vous dire combien j'ai été touchée par ce livre. 
Véritablement j'ai été percutée. Tous ces personnages si justes dans leurs ressentis, cette oscillation permanente entre humanisme et mysanthropie 😉Merci !

Nelly Luksenberg (lectrice)


                                            
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Cher Ollivier
Un grand merci pour cette lecture. J’ai passé un excellent moment au comptoir du bar. J’aurais aimé que l’on me réserve un verre afin que le moment dure encore…
Merci pour cet échange au salon du livre. Pas facile avec tout ce monde pour vous rappeler d’une personne  ; nous avons évoqué (samedi vers 15h)  nos passages marquants de la littérature et j’ai écrit sur une feuille Camus, la fin de La Peste. L’excipit dans un langage littéraire eût été mieux.
Au comptoir, j’ai joué à reconnaître telles œuvres ou tels auteurs. J’ai été triste devant mon manque de culture . Merci de m’avoir présenté Robert McLiam Wilson. Et j’ai souri aux jeux de mots au détour d’une phrase comme Sartre qui n’aurait pas apprécié ce huis-clos. J’ai pensé parfois y reconnaître des allusions masquées comme Goldman, et j’ai été contente de lire à la fin qu’il avait été aussi convié mais qu’il n’était pas venu. 
Je me suis étonnée d’un accord, que Colette reste « l’écrivain le plus photographié » pourquoi pas « l’écrivaine  la plus photographiée ». Peut-être que Colette n’aurait pas aimé cet accord. Vous m’avez dit de vous écrire et vous voyez que je vous ai lu avec attention. Merci pour ce plaisir de lecture .
Si vous avez une séance de dédicace dans la région bordelaise (Mollat peut-être ?), n’hésitez pas à me faire signe, s’il vous plaît,  car j’ai des regrets de n’avoir pas pris votre dernier livre.
Merci pour cet échange car ce sont ces moments de rencontre, certes furtif celui-ci, mais qui me font dire que j’aime les gens.
Bien amicalement 
Guilaine 

Guilaine B. (lectrice rencontrée à la Foire du livre de Brive, novembre 24)




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Interview menée par Francine Thomas. 
Radion Vinci Autoroutes, 107.7

https://www.instagram.com/reel/DCR3_akOOT2/?utm_source=ig_web_copy_link&igsh=MzRlODBiNWFlZA==





mercredi 7 juin 2023

COMPTOIR / Avis des lecteurs / Chroniques / Presse





Avis des lecteurs 








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Dans l’hôtel imaginé par Ollivier Errecade certains n’ont aucune place. D’autres, sans doute, auraient pu être invités s'ils avaient consenti quelques efforts supplémentaires.

Ne les pleurez pas.

Djian. Hemingway. Chrétien de Troyes. Molière. Il y a là ce que la littérature a fait de mieux, ce qu’elle continue à faire, sans relâche, malgré les dires de certains trouble-fêtes -- le genre plutôt réactionnaire, le genre sans imagination.

Vous n’avez pas été convié, bien sûr. Mais faites-vous discret. Glissez vous sans bruit entre deux portes et ouvrez l'oeil. Il ne faut rien toucher.

"Les mots" et "l’ombre des mots". 

Vous n’avez rien à dire sur l’amour, le temps, la maladie, la mort, vous ne tenez pas l'alcool. La fumée vous fait tousser. D’ailleurs, les mots vous manquent. Marchez simplement dans les couloirs, jetez un coup d’œil sur les portes : vous y trouverez des noms connus, des noms admirés, des types – sans parler des femmes – grâce à qui vous savez bien pourquoi les mots vous manquent.

Ce n’est pas à eux qu’il convient de l’exprimer. Ils le savent. Et mieux que personne ils et elles savent qu'il est des circonstances, aussi, oú le silence s'impose. 

Le ciel est clair, par chance, alors ça va.  Pourquoi ne pas se mettre à l'aise ? Même ici, sur la terrasse, au-dessus des remparts, il est peu probable que le vent se lève.  Il suffit de fermer les yeux, de tendre un peu l'oreille. 

Ça s'appelle COMPTOIR. 
(Florent Gonzalez - lecteur)

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« Un livre qui offre une belle promesse. Celle de faire débattre, dans un hôtel hors du temps, certains des plus grands écrivains et artistes des temps présents et passés. Ainsi Molière, Hemingway, Chrétien de Troyes côtoient Philippe Djian, Virginie Despentes, Gainsbourg et autres Woody Allen. Et l’exercice est réussi. Très bien réussi même. Une écriture fluide et travaillée fait que cet ouvrage se finit avant même d’avoir pu prononcer Louis Ferdinand Céline. Alors oui, la plume est légèrement cynique et désabusée, les débats tournent assez vite aux règlements de comptes, et l’éternel optimiste que je suis y a vu plus de noirceur qu’il n’aime en voir au quotidien. Mais tout cela est fait avec tellement de talent et d’intelligence qu’on se prend vite au jeu et qu’on se surprend même à prendre parti pour tel ou tel poète ou écrivain. 

J’allais donc donner un 8/10 à « Comptoir ». Mais un livre qui arrive à citer Bono et Goldman en quelques pages ne peut que friser la perfection. Ce sera donc un 9/10 »


 (Vincent MORVAN, Directeur de publication des Editions SATINVAË)




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Huis clos...
Un huis clos surprenant nous attend dès les premières pages...

Fiction ? Réalité ? Rêve ? Désir ?
Quand le passé se mêle au présent !

Vivants, morts, quand les amoureux des mots se réunissent autour d'un comptoir d'hôtel que peuvent-ils bien se raconter ?
Connus ou moins connus, qu'est-ce que ces personnes ont en commun ?

À travers ce roman "étrange et pénétrant", l'auteur, par ses mots, nous fait voyager dans des souvenirs d'enfance, mais pas que...

Si tous les Molière, Victor Hugo, Gainsbourg, Despentes, Sagan, Nothomb et bien d'autres se retrouvaient comme par magie coincés dans un hôtel alors que les quelques millions de Français que nous sommes sont confinés chez eux suite à une pandémie...
Ah, on peut dire que ça les fait bien rire...

Mais pour certains, leurs égaux en prennent un coup...

À grand renfort de mots, ils se livrent un duel et se défont de tous leurs maux...
Ils les vomissent par phrases entières, pleines de remords, d'amertume, mais également pleines de longs soupirs, de longs silences...

Ils signent, non pas à la pointe de l'épée, mais avec force et ténacité, leurs noms, leurs œuvres, leurs vies.

L'auteur, nous invite, à jouer les voyeurs dans cette rencontre pesante, presque angoissante par moment.

Ce récit n'est pourtant pas un thriller, mais le côté psychologique très sombre de certains protagonistes est oppressant et chargé d'émotion...

Un livre qui m'a beaucoup, comment dire... Dérouté, touché, ému et qui en même temps m'a amusé...

C'est très contradictoire, mais comment expliquer une telle lecture...
Alors pour y remédier, je vous propose juste de lire. 

((Sonia chroqueuse de livres - Chroniqueuse)
Lien du replay

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Comptoir


Je ne veux pas refermer ce livre sous prétexte que la vie est ailleurs.

Dans Comptoir, je retrouve des voix chères que je croyais tues.  

Je lève mon vers à leur santé !


Yves Gaudin (rhapsode)


    

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Un hôtel quelque part, mais ce n’est pas cela qui importe.

Des visiteurs pas comme les autres, ça c’est pas commun : Jean-Baptiste Poquelin (notre Molièrenational), RabelaisHouellebecqFlaubertRimbaudVictor HugoHemingway et Françoise Sagan… et d’autres encore… Des écrivains qui reviennent à la vie par la magie de l’auteur Ollivier Errecade et qui côtoient des homologues bien vivants … Voilà une idée qui m’a tout de suite séduite … et la cerise sur le gâteau, ils sont tous confinés parce qu’un « méchant virus fait des ravage à ce qu’il paraît » …

êtes-vous prêts pour une traversée temporelle? 

J’ai ouvert le livre un dimanche matin, en buvant mon petit café de milieu de matinée (incontournable le weekend 😉 ). Je l’ai refermé juste avant le repas de midi, c’est-à-dire que je l’ai lu d’une seule traite !

Remarquez, il n’est pas très long c’est vrai, mais ce qui veut dire aussi que je n’ai pas pu m’extirper de mon fauteuil tant que je n’avais pas atteint la dernière page.

Alors, me direz-vous, c’est qu’il m’a tenu en haleine et que je l’ai adoré ! Oui, bien sûr, j’ai beaucoup aimé ce concept peu commun. L’auteur est un amoureux des Lettres et des auteursde tous temps, cela se sent dans sa manière d’écrire. Il est à l’aise avec ces personnalités si atypiques, quel que soit le siècle où ils ont vécu. La littérature traverse les époques comme une comète le système solaire et elle ne prend pas une ride ! C’est la magie que se permet celui qui prend la plume pour épancher sa passion et transmettre ce qui le fait frissonner de plaisir.

Point de sagesse ou de remise en question, juste le fil éclairé d’un groupe éclectique de plumes en tous genres, et de manières de penser improbables parce que les siècles s’effacent peut-être au Comptoir tout en goûtant les cocktails étonnants et détonants d’Hemingway,  mais pas dans leurs âmes. Alors, ça s’accroche, ça s’interpelle, ça s’incomprend (pardon pour ce néologisme), ça se nombrilise (encore pardon) et cela donne un savoureux récit.

Alors, oui, j’ai beaucoup aimé ce livre, d’autant plus que la plume d’Ollivier Errecade est fine bien que rugueuse parfois et piquante aussi. Je me suis sentie comme une petite souris indiscrète et spectatrice d’un spectacle ahurissant. J’ai pourtant un peu regretté la manière dont les protagonistes « règlent leurs comptes ». Mais, n’est-ce pas aussi un moyen de démystifier le génie qui, somme toute, loge dans des êtres faits de chair et de sang et quelles que soient les époques qu’ils habitent ?

La nouvelle charte graphique des Editions Red’active… Surprenante, autant que ses auteurs non ? Qu’en pensez-vous? 




"Comptoir" d'Ollivier Errecade....Un coup de maître !!!!
Un véritable bijou d'écriture, d'intelligence, d'humour, et disons le tout de go...de culture littéraire, mais dans le bon sens du terme! Un roman dont les personnages ne sont autres que des auteurs des 2 sexes, poètes, romanciers, philosophes etc etc ,vivants ou morts et d'époques différentes, qui se retrouvent consignés dans un hôtel du sud de la France par les hasards d'une épidémie... Des élites confinées ensemble, quelle bonne idée !
Leurs rencontres vont donner lieu à des débats parfois houleux, toujours jouissifs, et souvent alcoolisés par la grâce d'Ernest Hemingway, intronisé barman, qui nous donne ses meilleures recettes de cocktails.
Inutile de préciser que les dialogues entre ces pointures incontestables de la littérature vont vous régaler ... Des dialogues imaginés et ciselés par un parfait connaisseur de leurs oeuvres et doté d'un humour corrosif, qui vous redonneront l'envie de vous y replonger...en les considérant peut-être sous un angle différent.
C'est simple....j'ai adoré!

(Claude Carré - auteur)


                
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Mes lectures de la semaine :
Le matin Zola qui n’est plus à présenter et le soir Ollivier Errecade avant de lire son nouveau roman publié chez Red’Active Éditions. Deux auteurs différents mais à la fois si tellement proche par leur talent d’écrivain.
(Elizabeth Bé - auteur)


                

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Cela pourrait presque ressembler à une recette de cocktail (comme il y en a tant dans ce court roman) : prenez un hôtel, quelque part dans le sud. Mettez-y un comptoir, avec tout ce que l'humanité a pu créer d'alcools, le tout servi à volonté. Entourer cet hôtel d'une ville dans laquelle rôde un vilain virus, qui contraint tout individu à rester confiné chez soi. Mais surtout, surtout, ajoutez-y les ingrédients principaux : une bonne poignée d'écrivains, de poètes, d'artistes, morts ou vivants, parmi les plus célèbres (tels que Molière, Camus, HemingwayRabelais, Hugo, Céline ou Djian, Houellebecq, Despentes...) Ajoutez-y un Homme du Bar, secret et peu bavard (mystère le plus total sur la raison de leur présence dans cet hôtel), mais qui dicte les règles : personne ne doit sortir. Et laisser agir (sans même agiter).

Alors bien entendu, passées l'incrédulité et les premières interrogations, il n'y a plus qu'à patienter (« nous voilà ‘confinés'…, comme ils disent, avec le reste de nos frères humains. Je ne sais pas ce qu'ils attendent de nous. Ne me demandez pas ce qu'ils espèrent de nous. Alors vivons ! Vivons pour le temps qu'il nous est donné de le faire à nouveau. Vivons mes amis ! Il en restera toujours quelque chose ! »). 

Rapidement, les particules artistiques élémentaires commencent à interagir entre elles dans ce huis-clos irréel. Chacune a sa trajectoire propre (son passé et ses ambitions, son passé, sa haute opinion de la littérature, de la poésie, de l'Humanité, de l'amour, des hommes et des femmes…). A force de tournées générales et de cocktails en tout genre (« Buvons à l'Homme ! Buvons à ses rêves ! »), le bocal hôtelier cosy commence lentement à se transformer en accélérateurs de particules. Elles s'agitent, elles s'excitent. Certaines montent en température. D'autres, flegmatiques ou plus sages observent ou vivent leur vie. D'autres encore entrent en collision (lire la joute verbale entre Despentes et Céline est réel bonheur). Les tontons flingueurs remplacés par une brochette d'artistes renommés.

Le roman est court, mais dense, truffé de dialogues tour à tour sensibles, philosophes, drôles, cocasses, caustiques, violents, … en un mot, jubilatoires. L'auteur Ollivier Errecade, professeur de lettres dans le civil, sait jongler avec les références biographiques de chacun et chacune. Les sujets de discussions se succèdent, qui sont autant de débats potentiels entre époques, positionnements, styles, … le tout dans des dialogues hauts en couleurs ! 

La petite maison d'édition Red'Active implantée dans les environs d'Aix-en-Provence porte là un auteur qui a du chien et de la suite dans les idées, et un très bon roman. Un roman que l'on adorerait voir adapté au théâtre !         
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Lecteur Babelio 


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Plusieurs personnalités (vivantes ou mortes, de différentes époques et univers avec une grande majorité d'écrivains) se retrouvent dans le même hôtel pendant que la France est confinée. Tout naturellement ils se retrouvent au bar.
Pas d'explications du pourquoi ni du comment de leur présence ici, on n'en saura pas plus. On assistera par contre à tous leurs échanges autour du comptoir. Les discussions sont tour à tour philosophiques ou sarcastiques, drôles ou profondes. Et comme ce sont tous des personnalités fortes et très tranchées, c'est plutôt jouissif !
L'auteur arrive à nous faire reconnaître le style et la gestuelle de chaque personnage avant même de nous donner son nom (une mention particulière pour l'entrée en scène d'Amélie Nothomb, que je n'avais pas du tout anticipée et qui m'a fait exploser de rire!).

Lectrice Babelio 


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Voilà une jolie lecture divertissante, amusante et étrange. 

Drôle d'équipe que ces écrivains vivants ou revenus d'entre les morts qui se retrouvent confinés dans un hôtel. 

Combats d'égo, haines anciennes, chocs des générations, réflexions, mélancolies, humour, leçons de vie ….. il y a de tout dans ce livre. 

L'écriture est très fluide avec une pointe de modernité et de langage actuel qui permettent de dévorer cet ouvrage très rapidement ! 

Une mention spéciale au Barman en chef, Ernest Hemingway, pour ses recettes de cocktails !
Lecteur Babelio

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Je viens de terminé ton roman, lu pratiquement d'une traite avec une pause pour le  déjeuner. Une lecture qui m'a détendu, avec des moments d'amusement, j'ai beaucoup aimé les dialogues, les diatribes entre certains écrivains, et celle que j'ai trouvé la plus jubilatoire est celle de Despentes-Céline. Despentes bien remontée contre la phallocratie, j'adore ! Camus m'a plus, fidèle à lui-même, conscient de l'homme éphémère, mais qui est en droit de se révolter, de pousser les pierres d'un monde absurde (Sisyphe) Hemmigway est un style en lui-même, porté sur la boissons et les coktails made in américa, et d'une lucidé implaccable sur l'existence, mais quelque-part qui me semble si désabusé, qu'il ne se prend plus ta tête avec rien...Les écrivains morts et vivants se côtoient dans un huis-clos jubilatoire (à mon sens)  et leur caricature se confrontent pour notre plus grand plaisir. J'ai aimé retrouvé Sagan, Notomb, (avec sa coupe de champ) Baudelaire, Molière, Rimbault, Colette, Sand, Gainsbourg, Woody Allen j'en oubli probablement. Je te livre mes émotions à chaud ! Et je te dis bravo pour l'originalité de ton roman qui pourrait être, devenir une pièce de théâtre. Le confinement a été salavateur pour ton écriture. J'ai bien aimé que tu aies cité Mishima (qui est un de mes auteurs favoris de la littérature japonaise moderne)à la fin de ton livre dont j'ai pratiquement tout lu. Un romancier qui a exploré la psychologie humaine de fond en comble dans ses versants les plus sombres, Baudelaire peut se rhabiller 😉par exemple.Bonne continuation Bien à toi Serge/Tristan 

(Lecteur)


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Mimylit sur Instagram: "Livre lu Comptoir, de Ollivier Errecade Résumé : Dans un hôtel du Sud de la France, au moment où les habitants sont confinés à cause d'un virus, des écrivains sont réunis. Il y a des hommes et des femmes, mais la cohabitation forcée ne s'arrête pas là. Il y a des vivants et des morts. Et tous se retrouvent au bar de l'hôte pour échanger sur leur situation et sur ce qu'il se passe dehors. Moliere côtoie ainsi Baudelaire, Hemingway, mais également Colette, Despentes, Céline, Woody Allen et Gainsbourg, et quelques autres encore. Cela donne un sacré cocktail littéraire ! Mon avis : Un beau cocktail littéraire qui mélange les genres et les styles, permettant au lecteur de deviner certains écrivains rien qu'à leur description ou d'en découvrir d'autres. J'ai beaucoup apprécié de lire ces échanges et j'admire la prouesse technique de l'auteur d'avoir capté le style de chacun pour le faire ressortir dans les dialogues. Et forcément, le plaisir de retrouver des 

Mimylit (lectrice et... ancienne élève... de l'an 2000.......)